Promotion industrielle et transformation locale de nos matières premières : le directeur général de la Société Nouvelle-Brasserie du Faso officiellement installé

Nommé en Conseil des Ministres en sa séance du mercredi 30 octobre 2024, Monsieur Alain SANKARA a été officiellement installé dans ses fonctions de Directeur Général de la Société Nouvelle-Brasserie du Faso (SN-BRAFASO) le mardi 5 novembre 2024 à Ouagadougou.

La cérémonie d’installation a été présidée par Monsieur le Secrétaire Général du Ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, Monsieur Oumarou BARRO.

Dans son discours, le nouveau Directeur Général a exprimé sa profonde gratitude envers les plus hautes autorités, en particulier à l’endroit de Monsieur Serge Gnaniodem PODA, Ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, pour la confiance placée en lui à la tête de cette ambitieuse unité industrielle.

Monsieur Alain SANKARA a également invité l’ensemble du personnel, présent et à venir, à plus de professionnalisme et d’engagement dans l’accomplissement de leurs missions. Il s’est engagé à investir toute son énergie et son savoir-faire pour réussir cette mission avec rigueur et professionnalisme. Le nouveau Directeur Général a insisté sur l’importance de la synergie d’action et la discipline afin de relever les nombreux défis qui se présenteront.

Le Secrétaire Général du Ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, Monsieur Oumarou BARRO, a quant à lui encouragé Monsieur SANKARA, en lui rappelant l’importance de respecter les objectifs qui lui ont été assignés. Il a également assuré le nouveau Directeur Général du soutien total des responsables du département.

Il faut noter que la SN-BRAFASO a été créée dans le cadre de la refondation de l’État et la politique de contrôle des secteurs stratégiques lancé par le Gouvernement. Ainsi, le Ministère en charge de l’Industrie a été chargé de prendre les mesures nécessaires pour relancer les activités de l’ex-BRAFASO.

La Société Nouvelle-Brasserie du Faso est une société d’économie mixte, avec un capital de 6 milliards de francs CFA (6 000 000 000 FCFA), dont 70 % du capital social est détenu par l’État, et 30 % par le secteur privé.

DCRP/MICA